
Pourquoi on adore les gens qui veulent voler notre tapis de jeu
Chaque salon de jeux, c’est un petit monde. Un tourbillon de meeples, de pions, de dés, de rires et de "tu me bloques là ?!". Mais il y a une chose qui fait frissonner d’orgueil notre petite équipe… Ce moment unique où un joueur, après avoir découvert Oh Mon Dieu, lève les yeux vers nous, puis vers la table, et dit :
"Mais il est incroyable, ce tapis. Vous le vendez ?"
(Ou, plus subtilement : "Si je repars avec… vous remarquez ou pas ?")
Et là, on sourit. Parce que non, on ne vous laissera pas le voler.
Mais oui, on est flattés à mort.
🎯 Le tapis de jeu : un détail qui n’en est pas un
On ne va pas mentir : le tapis de jeu n’était pas prévu au départ.
On pensait lancer un jeu d’ambiance simple, drôle, coloré… mais sans accessoires de luxe. Puis est venue l’idée : et si, au lieu de poser les cartes directement sur la table, on créait un terrain de jeu digne de l’Olympe 2.0 ?
Le brief à notre DA (Michael) était clair :
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Il faut que ce soit lisible
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Que ça donne envie de jouer
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Et que ça claque visuellement (genre, qu’on puisse poser un mojito à côté et faire une story Insta sans filtre).
Résultat ? Un tapis moderno-mythologique, avec ses zones de jeu, ses éclairs, ses icônes pop… et son style bien à lui.
😍 Pourquoi il plaît autant ?
1. Parce qu’il donne le ton dès le premier regard
Avant même de lire la règle, les gens voient le tapis et se disent : "Ok. Ici, on n’est pas dans un jeu abstrait. Ça va envoyer." Il met dans l’ambiance. Il transforme la table de jeu en plateau télé.
2. Parce qu’il rend le jeu plus fluide
Tout est organisé : les zones "panthéon", "défausse", "pioche"… Même les nouveaux joueurs s’y retrouvent. Le tapis, c’est un assistant de jeu silencieux (et très stylé).
3. Parce qu’il attire les curieux
En salon, c’est simple : une belle nappe, c’est bien. Un tapis Oh Mon Dieu, c’est magnétique. Il y a des gens qui n’ont aucune idée du jeu, mais qui s’arrêtent parce qu’ils veulent savoir ce que c’est que cette "table divine" pleine de dieux colorés.
4. Parce que c’est doux
Oui, on ne va pas l’ignorer : le toucher du tapis, ça compte. On a vu des gens caresser le tapis comme si c’était un chat. On ne juge pas. Nous aussi, on le fait quand personne ne regarde.
🥷 Tentatives de vol (gentilles, mais réelles)
En toute transparence, on a eu :
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Un papa qui a dit "si j’enlève les cartes et que je plie le tapis très vite, vous me voyez ?"
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Trois groupes différents qui ont proposé "un prix, en cash là de suite" pour repartir avec.
Et on ne parle même pas des photos prises en cachette… ou des regards insistant vers la nappe "au moment de ranger".
Chaque fois, on rigole. Mais on est sincèrement touchés. Parce que ça veut dire que le jeu marque. Qu’il y a une envie d’emmener un bout de cette expérience à la maison. Et qu’on a réussi à faire ce petit extra qui transforme un bon moment… en souvenir.
💡 Un objet qui prolonge l’univers
Le tapis, c’est un totem. Il prolonge tout ce qu’on raconte avec Oh Mon Dieu :
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Un monde mythologique moderne, drôle et décalé
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Une DA ultra léchée
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Une attention aux détails qui rend le jeu plus immersif
Il devient le théâtre où s’affrontent nos Zeus CEO, nos Héra coachs conjugales, et nos Arès champions MMA. Sans tapis ? C’est une bataille. Avec tapis ? C’est une série Netflix.
🛍️ Et donc… on va le vendre ?
Franchement ? Vous nous avez presque convaincus.
On y pense sérieusement. Mais pour l’instant, notre priorité, c’est de faire découvrir le jeu. On veut qu’il tourne, qu’il vive, qu’il explose de rire sur les tables. Le tapis, c’est notre bonus “salon”, notre accessoire fétiche. Notre trophée.
Mais qui sait… Une version collector ?
Bon. D’accord. On en reparle.
🎉 En attendant, continuez à essayer de le voler (gentiment)
On a beau surveiller notre stand, on adore cette étincelle dans les yeux des gens.
Celle qui dit : "Ce n’est qu’un tapis… mais j’en veux un."
Et si notre tapis fait autant d’effet, c’est peut-être parce qu’il résume Oh Mon Dieu en un coup d’œil : un jeu fun, qui ne se prend pas au sérieux, mais qui soigne son style jusqu’au bout du néoprène.
Alors venez, touchez, admirez.
Mais essayez pas de partir avec.
Ou alors… faites-le très très vite.